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Japon : AML/CTF superviseurs

Superviseur
Centre japonais de renseignement financier (JAFIC)

Parallèlement aux initiatives mondiales, les pratiques de lutte contre le blanchiment d'argent ont été progressivement développées au Japon. Dans le cadre de la mise en œuvre de la "Nouvelle convention des Nations unies sur les stupéfiants", le Japon a adopté en 1992 la "Loi concernant les dispositions spéciales de la loi sur les stupéfiants et le contrôle des psychotropes, etc., et d'autres questions relatives à la prévention des activités encourageant les comportements illicites et d'autres activités impliquant des substances contrôlées par le biais de la coopération internationale" (ci-après dénommée "la loi sur les dispositions spéciales antidrogue"), dont l'objectif principal est de lutter contre les comportements illicites et d'autres activités impliquant des substances contrôlées.

Lorsque la loi sur la prévention du transfert des produits du crime est entrée en vigueur le 1er avril 2007, le Centre japonais de renseignement financier (JAFIC), une division du Bureau des enquêtes criminelles de l'Agence nationale de police, a été créé au sein du Département de la criminalité organisée.

Pour appliquer efficacement la loi, la JAFIC recueille, organise et évalue les déclarations de transactions suspectes (DTS) soumises par les opérateurs économiques. La JAFIC transmet ensuite ces données aux procureurs et aux autres organisations chargées de l'application de la loi.

Comment se conformer aux réglementations AML/CTF au Japon ?